Bonjour à tous,

Oui bien sûr, les associations peuvent également porter des innovations sociales et environnementales, soit au titre d’un nouveau projet interne, soit en créant leur startup sous statut associatif.

D’autres s’appuient sur une double structure, associative et SAS. Dans tous les cas, nous recommandons de bien séparer les activités d’intérêt général (bénéficiaires plus fragiles, services spécifiques gratuits ou subventionnés, plaidoyer et soutien d’une cause, bénévolat…). Réalisées hors de l’association, les activités lucratives (par exemple B2B) sont réalisées à part, et sans lien de gouvernance entre les 2 structures.

Au fait, on peut aussi être « entrepreneur » sous statut associatif ! Et cette semaine, parlons-en avec :

• Des startups associatives telles que le groupe associatif Siel Bleu, magnifique exemple d’impact santé aux multiples changements d’échelle, Jaccede qui propose le guide de l’accessibilité, ou les talents d’Alphonse, facilitateurs d’échanges de savoirs entre séniors et plus jeunes.
• Des leviers de financement tels que : le Centre Français des Fonds et Fondations pour une meilleure représentation et échanges de pratiques, et le don en confiance, gage de l’intérêt général porté pour vos collectes de dons. Et pour les ONG et grandes associations, iRaiser procure les outils de collecte directe, en utilisant les meilleures pratiques du web marketing (adaptées aux valeurs bien sûr !).
• Des appels à projets pour 4 à 6 mois de  mécénat de compétences avec Eurogroup, de l’accompagnement intensif pour l’innovation territoriale  avec Initiatives et Cités,  et une dotation de la Fondation Groupama pour les projets ciblant les maladies rares.

Ensemble, soutenons l’intérêt général : déjà 50 startups associatives à découvrir dans le « mur des startups » 🙂

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Catherine VON DAHLE