Loi PACTE, mécénat, RSE, etc., l’entreprise peut, en lien avec les autres acteurs du territoire, contribuer au bien commun. Pourquoi ? Comment définir les priorités et les modalités ? Quelles conditions pour un impact réel et significatif ?

Débat le 17 octobre à partir de 18h (accueil 17h45) dans l’auditorium AG2R La Mondiale, immeuble Vivacity, 151-155 rue de Bercy, à Paris

Accès libre, inscription obligatoire : https://forms.gle/BjqSWK55bzSzsUmX8

avec :

• Marie-Laure Djelic, une des responsables du Panel International pour le Progrès Social, professeur et doyenne de l’Ecole du management et de l’innovation Sciences Po, Paris
• Martin Richer, expert RSE-management,
• Philippe Portier, secrétaire national CFDT, en charge du développement durable, des politiques industrielles, de la coordination RSE et des règles du dialogue social,
• Gérard Langlais, co-animateur du GT de la Fabrique écologique sur « La voix de l’environnement dans l’entreprise »
• Un entrepreneur qui témoigne d’une pratique remarquable pour le bien commun, territoriale et participative

Organisé par :

• le « Groupe de Bobigny » qui vise a rendre beaucoup plus « impactantes » à l’égard des priorités sociales et environnementales les approches « innovation sociale », « RSE » et « Mécénat ». Informel et indépendant, il réunit professionnels du développement social et environnemental, bénévoles, acteurs publics et privés, chercheurs, bénéficiaires des actions, etc.
• et le Panel International pour le Progrès Social (« GIEC du social ») réunit plusieurs centaines de chercheurs qui affirment que justice et progrès social peuvent être réalisés et proposent une nouvelle conception des piliers institutionnels : marché, entreprises, protection sociale, délibération démocratique https://www.ipsp.org/fr/